BIOGRAPHIE
(BRÈVE)
Né à Obeso (Cantabrie),
Très vite, elle a montré sa passion pour le dessin (et l’art en général) comme moyen d’expression privilégié. Pilar a quitté son pays en 1970 pour étudier la philosophie et les arts à l’Université centrale de Barcelone, où elle a obtenu son diplôme en 1976.
La même année, elle se déplace en Italie et décide de commencer sa carrière artistique. Abandonnant tout le reste.
Il s’installe à Florence et entre à l’Académie des Beaux-Arts, école de peinture : dirigée par Silvio Loffredo et Giancarlo Caldini.
En 1981, il se rend en Égypte pendant trois mois pour effectuer sa thèse de fin de carrière à l’université d’Al-Azhar au Caire : thèse sur les fresques des Omeyyades dans le palais califal de Qusayr’Amra dans le désert jordanien.
Diplômé en peinture en 1981 de l’École des beaux-arts de Florence, en Italie.
De 1989 à 1991, elle a vécu à Londres, sélectionnée par la fondation Delfina Studios pour les artistes.
Toute sa poétique de l’époque est liée à la Tamise.
En 1992, elle retourne en Italie après avoir remporté le prix de Rome, Académie Espagnole des Beaux-Arts, Ministère des Affaires Etrangères. Rome. Étude de la peinture italienne du Novecento.
Il incorpore définitivement de nouveaux langages à son particulier univers créatif et intellectuel.
Est profonde Sa relation avec la musique et s’est développée parallèlement à son travail dans les arts visuels
Elle a souvent travaillé avec des musiciens de renommée internationale tels que Paolo Fresu, Furio et Antonello Salis, Giorgio Pavan et Furio di Castri, en France, en Italie et en Espagne, collaborant à des projets de musique et d’image.
En 2000, Pilar Cossio a quitté Turin et l’Italie pour s’installer à Paris. Son travail s’y manifeste dans toute sa splendeur. Elle montre les résultats de sa période de recherche à Turin.
Ses réflexions sur la lumière et l’espace ont donné lieu à des œuvres telles que.. :
«Pavanne», «Luogo». Bureau pour femmes», «Slow fire» …. d’une grande portée poétique et conceptuelle.
Ils montrent la rencontre privilégiée et heureux de son travail avec les différents langages de l’art contemporain.
En 2010, il a entamé ses relations avec le Moyen-Orient, en commençant par sa première exposition au Liban. À cette recherche, il a consacré deux livres, des carnets de voyage, qu’il a traduits en arabe. Ils ont été écrits entre Paris et Beyrouth.