le Tao: Hua YÜ Lu, ou Dialogue sur la peinture

Shih T’ao a développé cette idée Dans son Hua YÜ Lu, ou Dialogue sur la peinture:

«l’idée de réflexion pure, énoncée par les premiers taoïstes, est devenue par la suite le principe de base de la peinture chinoise, et tous les grands artistes l’ont adoptée…
Un jour qu’on demandait a Chang Yen-Yuan (peintre chinois) comment le maître avait pu tracer des lignes et des courbes parfaites sans utiliser aucun instrument, il répondit que ce grand artiste s’était identifié avec l’univers et avec tous les choses, de telle sorte que le pinceau n’était plus son pinceau mais l’agent créateur de toutes les formes.

«Le compas et l’équerre servent à tracer des cercles et des carrés parfaits. Le ciel et la Terre sont des cercles et des carrés en mouvement. Les hommes connaissent l’existence du compas et de l’équerre, mais ils ne comprennent pas le mouvement du Ciel et de la terre: Les hommes sont prisonniers de règles artificielles.

Bien qu’ils possèdent les méthodes de la création, ils ne savent pas les utiliser, et, à cause de leur ignorante, elles deviennent limitatives et contraignantes (…) La vrai méthode est inherente à l’acte de peinare et elle surmonte spontanément du Ciel et de la Terre. Alors se révèle le Tao.

Nous pouvons définir la peinture comme la réflexionb ou la reproduction spontanées de la réalité interieure de celui qui peint, en dehors de toute limitation interieur.

Les posibilites de celui qui peint s’expriment alors sans contrainte et la creation s’accomplit sans effort artificiel. Cette m’ethodee de la philosophie taöiste.

sardinero
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