vous que avez pris tous les cieux que je fréquente, pour vous, sans métaphores, je laisse sortir le cavalier sauvage.
Et galop autour la ville, que je ne peux pas atteindre.
Que je ne peux pas rejoindre.
 vous.
Avant d’avoir gardé dans le miroir … plongé dans mes pensées de frontiere.
….J’y ai été.