Essaouira – des ateliers d’art- Maroc- École Ibn Khaldoum

Je suis venu comme quelqu’une que poursuit une étoile. CONFIANT, en face a «le NOUVEAU».

Et le nouveaum’ allume….
je travaille a haute températures. Pas loin du sel, de l’eau….

faire des choses…a partir de rien.
Voilà ça que J’aime.
projet

Mon projet marocain (école publique) a eu un point de départ sur ​​la base de ma connaissance (pas beaucoup …) à partir de considération dans les programmes éducatifs de certains pays arabes (Maroc, bien sûr) de dessin / peinture / expression atistica, etc .

Un aspect de ce «système» de transmettre «l’idée de l’art,« plus rigoureuse, à certains égards, que j’aime. Mais j’ai pensé qu’il pourrait être complété par une vision différente de l’art…celui-là qui est né dans un’idée de liberté.

Voilà mon éventuel contribution: ouvrir une fenêtre. Un examen plus approfondi … compléter le regard que les enfants ont déjà .

On m’a donné carte blanche quand il s’agit de la mise en œuvre du programme.

J’étais seul. Et donc mon projet dépendait de moi.

Puis, une fois j’ai trouvé la réalité de l’école et des étudiants, j’ai vu qu’il s’agit d’ apporter de l’eau à la soif.

Les enfants n’ont pas hésité un instant-en quittant partialement les paramètres structurés et structurelles dans le lieu où ils déposent jusque-là leur art.
Aller vers la couleur. c’était comme sauter dans un vide … sans crainte.


Mare that quivers the forest, that tears away your secret from the coralsSaddled up… They didn’t know why but they saddled up and so it began the dance of the horses at the edge of the night. They kept her shadow that was rising from within the abyss from one heaven to another, the dreamers cross carrying mirrors of waterwe can be as we must be from one heaven to another the dreamers cross, safe and sound.

Mahmoud DARWISH

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